estime de soi
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Mon amour de Soi
Article écrit par Nathalie Neumann - Guidances et Soins énergétiques
L’AMOUR DE SOI
Que dire sur l’amour de soi ? est-ce bien, est-ce mal ? est-ce compliqué à trouver ? et si cet amour de soi était tout simplement là en nous depuis toujours, un amour sur lequel nous avons tout simplement posé un mouchoir pour ne plus avoir à penser à en prendre soin.
Depuis toute petite, je suis à la recherche d’amour, mais l’amour de moi, je ne savais pas ce que c’était. Donner aux autres, offrir aux autres était normal pour moi. Mon éducation était faite en ce sens, mais m’aimer moi, qu’est ce que cela signifiait vraiment dans les yeux et le cœur d’une petite fille qui se trouvait là, au milieu d’une grande famille ?
L’amour des autres, oui j’ai connu ! Au travers mon éducation et ce que j’en retiens, c’est cet amour que mes parents nous ont offert, cet amour invisible dans de petits gestes vitaux du quotidien, pour prendre soin de nous. J’ai l’image de parents toujours présents aux moindres petits soucis de la vie, et des petits soucis, ils en ont eu grâce à nous. A presque 50 ans pour ma part, ils sont loin physiquement mais près de chacun de leurs enfants. Ils répondent présents dès que cela est nécessaire et pour cela, je leur dis « MERCI ». Cet amour malgré tout n’est pas l’amour que l’on se donne à soi, mais pour moi, il devrait contribuer à le trouver, au travers du regard que l’on nous porte et en même temps que l'on se porte.
S’aimer n’est vraiment pas simple, d’autant plus que nous faisons parti d’une société qui prend bcp d’importance à l’image que l’on donne, au jugement que l’on nous porte, nous nous sentons tellement différents des autres, plus petits, plus faibles, et au lieu d’utiliser notre énergie à prendre soin de ce petit enfant intérieur, nous utilisons toute notre énergie à trouver notre place parmi une société qui ne nous aime pas forcément et qui nous demande d’être à l’image de ce qu’elle attend de nous.
Beaucoup d’entre vous pense que ce monde n’est pas le nôtre, que nous n’avons pas notre place ici et pourtant, nous mettons tout en œuvre pour nous y sentir bien. Une fois que le cœur ne saigne plus, une fois que l’amour revient en nous par une prise de conscience, on se rend compte que ce monde finalement peut être ce que nous voulons qu’il soit : UNE PURE MERVEILLE !
Chaque jour je remercie l’Univers pour toute l’expérience que j’ai traversée, les leçons que j’ai apprises, les rencontres que j’ai faites et l’amour que je reçois au quotidien.
A ce jour, j’aime ma vie, j’apprends à aimer mon corps et je prends soin de mon enfant intérieur.
Par amour pour moi, pour la première fois, je me fais aidée par d’autres thérapeutes qui trouvent les mots nécessaires à ma guérison.
Aujourd’hui je suis capable de dire haut et fort : JE M’AIME <3 !
Merci vraiment la vie, merci l’Univers, merci à tous….
Vous faites partis de moi comme je fais partie de vous.
Namaste
Nathalie de Guidances et Soins énergétiques
Défi n° 26 - SOIN FINANCIER - 17.04.2020
Voici des vidéos (des pistes parmi tant d'autres) concernant l'abondance financière
Pour ma part, lorsque j'ai compris que l'argent était une énergie et que j'ai réussi à effacer mes peurs de manque vis à vis de l'argent, tout a changé pour moi.
Par synchronicité, si une facture imprévue tombait, il y avait toujours sur ma route le moyen qu'elle soit honorée. Cette semaine là, ma facture de courses était plus petite que d'habitude, je reçois une somme d'argent inatendue, etc...
Et vous, que mettez-vous en place pour attirer à vous l'abondance financière ?
Affirmation de soi : 7 exercices pour commencer à vous affirmer
Comment apprendre à s’affirmer ? Comment surmonter nos peurs dans nos relations ? Comment comprendre les mécanismes de l’affirmation ? Comment apprendre à exprimer clairement et fermement notre avis ? Voici 7 exercices pour trouver des réponses à ces questions, et commencer à vous affirmer.
Exercice 1 : Connaître vos peurs
Observez les situations qui vous rendent anxieux ou vous angoissent.
Faites une liste de ces situations.
Classez ces situations de la moins angoissante à la plus angoissante.
La situation la moins angoissante est aussi la plus facile à surmonter. Ce classement vous donne donc un chemin à suivre pour vous affirmer. Chaque situation surmontée est une étape. Mais aussi une victoire. Cette victoire vous donne confiance pour passer à l’étape suivante.
Pour vous aider, voici 10 exemples de situations qui pourraient vous angoisser :
- demander un service à un ami
- demander un service à un collègue
- demander un renseignement à un passant
- sortir d’un magasin sans rien acheter
- refuser une sortie dont on n’a pas envie
- refuser une demande illégitime d’un collègue
- refuser une viande trop cuite au restaurant
- prendre la parole lors d’une réunion
- refuser une demande illégitime d’un chef
demander une augmentation
Exercice 2 : Observer les demandes et les refus de votre entourage
Observez dans votre entourage comment les gens communiquent. Observez en particulier comment ils expriment leurs demandes. Et comment ils expriment leurs refus.
Leurs demandes et leurs refus sont-ils directs ? Ou sont-ils exprimés de façon indirecte ?
Les demandes et les refus sont-ils exprimés simplement ? Ou de façon compliquée ?
Quelles sont les conséquences à chaque fois ? Compréhension mutuelle ? Obtention ? Incompréhension ? Tensions ? Dispute ?
Exercice 3 : Entraînez-vous
Entraînez-vous à formuler par écrit des demandes directes. Les idées doivent être exprimées très clairement et très simplement.
Essayez le même exercice à l’oral. Pensez à utiliser un magnétophone pour vous aider.
J’ai parlé de nos 4 attitudes face aux autres, dans cet article : Nos 4 attitudes face aux autres
Nous adoptons toujours une des 4 attitudes suivantes: inhibition (soumission), agressivité (domination par la force), manipulation (domination par la ruse), affirmation de soi.
Exercice 4 : Observer les comportements inhibés
Observez les comportements inhibés de votre entourage.
Notez les conséquences de ce type de comportement : Qu’est-ce que la personne inhibée a obtenu ? Comment a évolué sa relation avec l’autre ? Quelles sont les émotions qu’elle a ressenties ?
Exercice 5 : Observer les comportements agressifs et manipulateurs
Observez les comportements agressifs ou manipulateurs de votre entourage.
Notez les conséquences de ce type de comportement : Qu’est-ce que le personne agressive a obtenu ? Comment a évolué la relation ? Quelles sont les émotions qu’elle a ressenties ?
Exercice 6 : Observer les comportements affirmés
Observez le comportement d’une personne de votre entourage que vous jugez affirmée. C’est une personne respectée, et qui respecte les autres. Elle sait exprimer son point de vue de façon claire et directe.
Notez les conséquences de son attitude affirmée, comme dans les exercices 4 et 5.
Exercice 7 : Observer ses propres attitudes
Observez cette fois vos propres attitudes.
Essayez de trouver un exemple pour chacun des 4 types.
Etudiez les conséquences de votre réaction inhibée. Puis Les conséquences de vos réactions agressives, manipulatrices et enfin affirmées.
Source : https://www.affirmation-de-soi.info/
Voici comment vous soigner en parlant à vos cellules
Vos cellules vous écoutent
Chaque partie de votre corps a sa propre conscience et sa propre âme.
Le chemin vers la liberté
Cette nuit-là, après avoir atteint un calme profond grâce à la méditation, j’ai engagé intérieurement mon corps dans une conversation sincère, avec espoir, mais sans savoir à quoi m’attendre. Après environ une heure de communication ciblée, il s’est passé quelque chose d’extraordinaire.
Mes tissus ont commencé à répondre. Le tissu conjonctif a tiré et étiré des couches de tissu cicatriciel. Mes nerfs ont tiré et mes muscles du mollet ont commencé à effectuer des exercices de flexion et d’extension indépendamment de mon contrôle conscient.
Comme cette réaction a continué, un de mes muscles du mollet qui s’était paralysé par l’état neuropathique – diagnostiqué sous le nom de Dystrophie sympathique réflexe – est revenu à la vie quand des secousses électriques ont traversé la zone.
Mon cœur s’est accéléré quand que je me suis rendu compte que le chemin pour me libérer de cette condition avait enfin commencé.
Recommandations pour la guérison dynamique
Comme j’ai continué à progresser dans mon état, j’ai organisé mon approche dans un système que je pourrais enseigner aux personnes et j’ai mis mon accent professionnel sur l’hypnothérapie.
Lorsque je donne des instructions à mes clients, j’explique qu’une pratique de méditation régulière est nécessaire pour entraîner le cerveau à entrer dans les états d’ondes cérébrales alpha et theta. Car dans ces états, la communication entre l’esprit conscient et le corps physique est considérablement améliorée.
Voici comment vous soigner en parlant à vos cellules
Une pratique de méditation régulière est nécessaire pour former le cerveau.
J’ai constaté que lors de la communication, il y a trois étapes essentielles pour obtenir la coopération du corps:
- – Approchez votre corps avec une véritable compassion, en comprenant qu’il se compose de cellules conscientes qui éprouvent des émotions.
- – Créez une confiance en engageant votre corps dans des conversations mentales sur votre désir de vous permettre de coopérer et de surmonter la maladie.
- – Autorisez les changements dans la conversation en utilisant différentes pensées et mots qui suscitent des émotions spontanées élevées.
Le pouvoir de l’Intention humaine
J’ai récemment rencontré un ensemble très similaire de facteurs découverts par la chercheuse Cleve Backster, qui a passé 36 ans à étudier la biocommunication dans les cellules végétales, animales et humaines. Il a mentionné ces facteurs comme une véritable intention, une harmonisation et une spontanéité.
Backster, anciennement spécialiste en interrogatoire pour la CIA, a écrit quel le moment décisif qui l’a conduit à son travail réel dans ce monde, dans son livre Primary Perception.
Ce moment s’est produit un matin de février en 1966 lorsqu’il a décidé de surveiller l’usine de Dracaena dans son laboratoire en utilisant des équipements polygraphiques.
Il a attaché des électrodes à une feuille et a commencé à réfléchir sur les moyens d’induire une augmentation de l’activité électrique dans la plante. Chez les humains, cette augmentation de l’activité électrique est associé à des émotions intenses.
Il a soudainement pensé à brûler la feuille munie d’électrodes. Au même moment où cette idée lui est venue à l’esprit, le stylo polygraphique a montré une réaction extrême de la part de la plante.
Étonné, il s’est dirigé vers le bureau de sa secrétaire pour récupérer un ensemble de correspondances tout en réfléchissant à la possibilité que cette plante ait en quelque sorte détecté la force de l’intention humaine.
Les plantes peuvent-elles être en phase avec leurs soigneurs ?
Lorsqu’il est revenu avec les allumettes, la plante affichait toujours la même réaction. Backster a décidé « d’éliminer la menace » en ramenant les allumettes au bureau.
À ce stade, le graphique affichait une tendance à la baisse lorsque la plante a commencé à se calmer. Lorsque Backster a tenté de répéter les mêmes résultats en faisant semblant d’aller brûler la plante, mais il n’y avait pas de réaction. La plante semblait détecter la différence entre l’intention réelle et l’intention artificielle.
Il a finalement découvert que les plantes se mettaient en phase avec leurs soigneurs, en réagissant à leurs émotions positives et négatives et à leur retour lorsqu’ils étaient absents depuis un certain temps. Les résultats des diagrammes ont également montré que les plantes priorisent les émotions de leurs soigneurs sur les émotions des autres personnes à proximité.
Signes de conscience
Backster a ensuite élargi ses recherches pour inclure le test des cellules humaines pour détecter les signes de conscience.
Il a recueilli des globules blancs provenant de donneurs humains, les a mis sous électrodes dans un tube à essai et a ensuite enregistré les réactions des cellules lorsque les donneurs éprouvaient différents états émotionnels. Il a constaté que des émotions spontanées étaient nécessaires pour provoquer une réaction électrique dans les cellules.
Par exemple, si une donatrice se forçait à ressentir une émotion, les cellules ne répondaient pas. Cependant, quand elle a reçu un appel téléphonique pénible de sa fille, les cellules ont réagi de manière significative.
Capacité de guérison créative
Ces expériences ont été réalisées lors de l’utilisation d’un équipement qui a éliminé les rayonnements électromagnétiques, les énergies habituelles utilisées pour la transmission de l’information. Les cellules se sont comportées comme si les écrans n’étaient pas là, ce qui suggère que cette communication est portée par un champ encore non identifié par la science conventionnelle.
Certains scientifiques pensent que le développement de la physique quantique peut nous aider à comprendre ce domaine qui communique l’intention émotionnelle entre les êtres vivants. L’enchevêtrement quantique est un processus où deux particules de matière qui interagissent les unes avec les autres, se comportent toujours comme si elles étaient connectées après avoir été séparées par plusieurs kilomètres.
Lorsqu’une modification énergétique est apportée aux propriétés (position, momentum et spin rotatif) de l’une des particules, les propriétés de l’autre particule éloignée changent en même temps.
Les techniques de méditation impliquées dans ma pratique amènent l’esprit à l’harmonisation avec ce domaine. L’énergie de ce domaine est ensuite concentrée sur un événement de guérison physique grâce à une intention claire, livrée au moyen d’une conversation qui évoque des émotions spontanées, et met le corps physique en phase avec l’esprit conscient.
Cette méthode que j’appelle Antara (sanskrit pour l’intérieur) permet d’expérimenter la capacité de guérison créative brute générée par une alliance de l’esprit et du corps avec ce champ d’énergie universel vivant.
Voici comment vous soigner en parlant à vos cellules Article inspiré de : upliftconnect.com/ http://expandedconsciousness.com/
Sources : [1] C. Backster, Primary Perception: Biocommunication with plants, living foods, and human cells, White Rose Millennium Press, 2003, pp. 29, 31-34, 39, 49-50. ISBN 0-966435435.
[2] Ibid., p. 20
[3] Ibid., pp. 21-25.
[4] Ibid., pp. 29-32
[5] Ibid., pp. 119-120
[6] Ibid., pp. 127-128.
[7] Ibid., pp. 40, 79, 151
[8] D. Radin, Entangled Minds: Extrasensory experiences in a quantum reality, Pocket Books, 2006, ISBN 13: 978-1-4165-1677-4; R. Sheldrake, Morphic Resonance: The nature of formative causation, Park Street Press, 2009, ISBN 978-1-59477-317-4; D. Wilcock, The Source Field Investigations, Penguin Group, 2011, ISBN 978-0-525-95204-6.
Pourquoi on a du mal à prendre soin de soi
Se détendre, bien manger, prendre le temps de lire, se faire masser… Nous savons tous que notre bien-être dépend de notre capacité à nous traiter avec douceur et bienveillance. Mais de la théorie à la pratique, il y a un pas, parfois très difficile à franchir.
Estelle, 37 ans, « lectrice assidue de Psychologies », a eu un déclic en lisant notre hors-série Se faire du bien. « Je me suis dit, ça a l’air si simple, ce sont des petites choses faciles à intégrer dans son quotidien : s’étirer, bien respirer, prendre un bain, et pourtant ces petites choses me semblent aussi difficiles que de gravir l’Himalaya !
En y réfléchissant, j’ai compris qu’au fond, je ne croyais pas vraiment que cela pourrait changer ma vie. C’est comme si les jeux étaient faits dès le départ : certains sont naturellement doués pour se faire du bien et d’autres sont condamnés à lire des conseils sans pouvoir les appliquer ! » Nous pourrions ainsi multiplier les témoignages de ceux qui, tout en ayant conscience que prendre soin de soi est la base du bien-être physique et émotionnel, oublient, négligent ou malmènent leur corps.
On s’identifie trop à son corps
« Il y a deux façons de vivre son corps, explique le psychanalyste J.-D. Nasio. Soit en l’oubliant, et là j’identifie mon corps à mon être et je me dis que “je suis mon corps” ; soit en pensant à lui, et là je tiens mon corps pour mon bien le plus précieux, et je me dis que “j’ai un corps”. »
Plus concrètement, cela signifie que lorsque nous ne faisons qu’un avec notre corps, nous ne pouvons pas nous dédoubler, et donc le prendre comme objet de soins. En revanche, si nous avons conscience d’avoir un corps, un « maître souverain », comme le définit le psychanalyste, qui a le pouvoir de prolonger ou d’arrêter notre vie, alors nous pouvons le traiter avec tous les égards qu’il mérite.
Mais prendre soin de soi n’est pas seulement une affaire entre soi et soi. Pour Robert Neuburger, psychiatre et psychothérapeute (auteur, notamment, des Territoires de l’intime, Odile Jacob), cette démarche n’a de sens que dans le cadre d’une relation. « L’être humain ne peut pas “se faire exister” par lui-même, il ne peut pas se passer de l’autre. C’est pourquoi on prend soin de soi non pour soi, mais en fonction du regard des autres. Pour préserver une appartenance. »
Si l’on ne se sent pas assez important, si l’on doute de sa valeur, si l’on n’a pas trouvé sa place, prendre soin de soi n’a pas de sens. « Après mon divorce, je me trouvais moche, sans intérêt, se souvient Agnès, 44 ans. Prendre soin de moi à cette époque, ça voulait dire aller chez le coiffeur pour que ma fille ait quand même une image positive de sa mère. C’est aussi pour elle que je mettais du rouge à lèvres. »
On a trop écouté papa et maman
La bienveillance, un mot qui peut paraître étrange, tant nous sommes pris parfois entre obligations, rythmes effrénés, peurs… L’oubli de soi nous guette et avec lui presque une certaine malveillance envers nous-mêmes. Pour faire le point, découvrez notre test Savez-vous être bienveillant avec vous-même ?
Si du regard des autres dépend le regard que nous posons sur nous, c’est le regard parental qui, le premier, nous permet de développer une relation bienveillante – ou non – avec notre corps. « Savoir s’occuper de soi ou se négliger dépend à la fois de notre histoire personnelle et de notre éducation, analyse la psychothérapeute Michèle Freud (auteur de Mincir et se réconcilier avec soi, Albin Michel). La perception de soi est façonnée par des mots, des gestes et des regards perçus dans l’enfance.
Si cette expérience a été satisfaisante, nous pourrons construire une image saine de notre corps et une bonne estime de soi. Si ce n’est pas le cas, la relation au corps sera plus difficile, et on préférera oublier ce mal-aimé de différentes manières : mauvaise nourriture, surmenage, absence d’hygiène de vie, etc. »
A ces données de départ, souligne Michèle Freud, viennent s’ajouter les messages positifs ou négatifs transmis par notre éducation. « Ce conditionnement détermine nos comportements : ne pas oser prendre du temps pour soi sans culpabilité, considérer que s’occuper de soi est une perte de temps, une preuve d’égoïsme, associer repos et paresse… » Toutes ces croyances, plus ou moins conscientes, peuvent nous rendre sourds à nos besoins et freiner notre aspiration au mieux-être.
Evelyne, 36 ans, pose un regard à la fois envieux et un peu méprisant sur « celles qui se chouchoutent comme dans les magazines féminins ». « Des masques, des massages, du yoga…, quand travaillent-elles ? Je gère une entreprise d’informatique de vingt personnes, j’ai deux enfants, je n’ai vraiment pas le temps de me dorloter ! » Mais Evelyne n’est aveugle ni sur son histoire, ni sur la façon dont elle a dû s’imposer dans un milieu très masculin. Son père, ex-chef d’entreprise, l’a toujours considérée comme son « héritier ».
« Pas “héritière”, précise-t-elle en souriant. Chez nous, la valeur absolue, c’est le travail et la réussite sociale. Quand mes copines se pomponnaient pour faire la fête, je bossais pour préparer mon master aux Etats-Unis. Inutile de dire que le maquillage et les fringues, c’étaient les cadets de mes soucis ! Aujourd’hui pourtant, j’aimerais être plus douce avec moi, plus sensible et moins cérébrale, mais c’est trop tard, les mauvaises habitudes sont prises ! »
On pense qu’on ne le mérite pas
Des prétextes, nous en avons tous pour nous négliger en toute bonne foi. « Je n’ai pas le temps de m’occuper de moi », « J’ai mieux à faire que de me prélasser dans un institut », « Je n’ai pas les moyens de me chouchouter » sont les excuses boucliers que l’on met le plus souvent en avant. « La plus courante est : “Je n’ai pas le temps”, constate le psychothérapeute Gonzague Masquelier (directeur de l’Ecole parisienne de gestalt - EPG -, auteur de Vouloir sa vie, la gestalt-thérapie aujourd’hui, Retz). Evidemment, elle abrite des croyances bien ancrées, qu’il faut cerner puis démonter pour pouvoir neutraliser leur influence négative. »
Parmi celles-ci : « Je n’ai pas le droit de me faire plaisir », « Je ne mérite pas ces dépenses », « Ce ne sont pas des soins qui me rendront plus heureux »… Et chacune d’elles abrite de l’agressivité que l’on retourne contre soi, un état dépressif, ou encore des messages inconscients transmis de génération en génération. Laurène, 35 ans, a mesuré l’ampleur de son « verrouillage intérieur » le jour où elle a accepté de se faire masser par une amie. « Je me suis allongée en sous-vêtements, dans une lumière douce. Muriel a commencé à me masser très doucement… Je n’ai pas tenu cinq minutes, j’ai éclaté en sanglots. C’était trop : trop de douceur, trop de contact, je n’avais jamais connu ça ! Chez moi, on s’embrassait une fois par an, et encore… Toute cette dureté, cette sécheresse affective dont j’ai tant souffert sans m’en rendre compte sont remontées d’un seul coup, j’ai pleuré pendant une demi-heure sans pouvoir m’arrêter. »
On sent que ça peut faire mal
Pour Gonzague Masquelier, cette réaction n’a rien d’étonnant. Lorsque l’on s’est construit dans un environnement affectif rigide, la douceur, les attentions, le toucher ne nous sont pas seulement étrangers, ils représentent une menace pour notre équilibre. Pour ne pas remettre en question son éducation, donc risquer de faire chuter le parent de son piédestal, pour ne pas ébranler les stratégies de défense qui nous ont aidés à nous construire, nous verrouillons toutes les portes afin de continuer à nous traiter comme nous l’avons été.
« Prendre soin de soi peut également être douloureux ou impossible si c’est vécu comme une transgression, ajoute Michèle Freud. Lorsque l’on s’autorise à “aller” là où les parents se le sont interdit : se faire plaisir, prendre du temps pour soi, savoir s’écouter. Cette démarche n’est pas simple, cela demande de surmonter un sentiment de culpabilité pour sortir du schéma de répétition. » Difficile en effet de s’offrir une cure en thalasso ou une crème haut de gamme quand ses parents avaient du mal à joindre les deux bouts.
S’il est plus facile de prendre soin de soi lorsque l’on a appris à s’accepter, à s’aimer, il est aussi vrai qu’apprendre à se prodiguer des soins peut conduire à mieux s’accepter et à mieux se traiter. « Je ne crois pas aux grandes révolutions du jour au lendemain, poursuit Michèle Freud. C’est pourquoi je préconise toujours, et pour tous, la politique des petits pas, la seule qui puisse nous réconcilier en douceur avec notre corps, donc avec nous-même. »
Carole, 41 ans, a fait sa petite révolution l’année dernière. « Je ne prends plus mon petit déjeuner en famille, je quitte la maison quand tout le monde se réveille et je vais marcher. Au début, j’étais culpabilisée, mais maintenant, j’assume et je savoure chaque pas que je fais, seule et légère dans le petit matin. »
7 pistes pour se faire du bien un peu plus, un peu mieux
Plutôt que de vous vanter les mérites – indéniables – des spas, instituts de massages, cours de yoga ou de méditation, nous vous proposons une petite ordonnance thérapeutique, élaborée par les psychothérapeutes Michèle Freud et Gonzague Masquelier.
1.Ne placez pas la barre trop haut.
Notez sur un carnet toutes vos phrases et pensées qui commencent par « Je dois », « Je ne dois pas », « Il faut », « Il ne faut pas ». Peut-être prendrez-vous conscience que vos objectifs en matière de nutrition, de forme, de beauté sont trop contraignants, donc difficiles ou impossibles à atteindre. Se maltraiter, c’est aussi se montrer trop exigeant avec soi.
2.Prenez conscience de vos gestes.
En vous lavant, en vous crémant, en buvant du thé, en vous habillant, ralentissez votre rythme et prêtez attention aux sensations que ces gestes vous procurent. Plus nous agissons en automates, plus nous oublions notre corps, et plus nous le négligeons.
3.Choisissez votre tempo.
Vous êtes plus jogging que yoga, plus fitness que méditation ? Bougez à votre rythme, selon votre personnalité et vos besoins. Il n’y a qu’une seule façon de prendre soin de soi : écouter et respecter ses propres besoins.
4.Faites équipe.
A deux ou en groupe, on est plus motivé car plus soutenu. Massages, piscine, cours de théâtre ou de danse…, créez votre réseau « bien-être » et serrez-vous les coudes.
5.Organisez votre agenda.
Choisissez deux heures dans la semaine et réservez-les. Activité ou oisiveté…, elles vous appartiennent. Avec le temps, vous apprendrez à en faire le meilleur usage pour vous.
6.Apprivoisez le plaisir.
Une tasse d’excellent café, une heure à lire emmitouflé dans un plaid, un plateau-télé spécial régression… Une fois ce plaisir savouré, notez vos sensations et émotions, y compris les moins confortables (gêne, culpabilité, tension, etc.). Vous apprendrez à affiner votre sens du plaisir en comprenant ce qui vous empêche de le vivre pleinement.
7.Félicitez-vous.
Chaque petit soin, chaque petite attention que vous vous accordez est un grand pas vers la liberté intérieure. Bien se traiter est difficile pour la plupart d’entre nous, ne l’oubliez pas !
Source : http://www.psychologies.com/
Prière pour l'amour de soi
Aujourd’hui, je m’accepte tel(le) que je suis, sans me juger.
J’accepte mon esprit tel qu’il est, avec toutes mes émotions, tous mes espoirs et mes rêves, ma personnalité, ma façon d’être unique.
J’accepte mon corps tel qu’il est, dans toute sa beauté et sa perfection.
Que l’amour que j’ai envers moi-même soit si fort que jamais plus je ne me rejette, ni ne sabote mon bonheur, ma liberté et mon amour.
Désormais, que chacune de mes actions, de mes réactions, de mes pensées et de mes émotions soit fondée sur l’amour.
J’accrois mon amour pour moi-même, jusqu’à ce que tout le rêve de ma vie soit transformé et que la peur et les drames cèdent la place à l’amour et la joie.
Que la puissance de mon amour pour moi soit assez forte pour briser tous les mensonges qu’on m'a programmé à croire, tous ceux qui m'ont fait croire que je ne suis pas à la hauteur, pas assez fort(e), pas assez intelligent(e), et que je ne m'en sortirai pas.
Que la puissance de mon amour pour moi soit si forte que je n’aie plus besoin de vivre ma vie en accord avec l’opinion d’autrui.
J'ai une confiance totale en ma capacité à effectuer les choix que je dois faire.
Paré de mon amour pour moi, je n’ai plus peur de faire face à quelque responsabilité que ce soit dans ma vie, ni à quelque problème dont je trouve la solution quand il se présente.
Quoi que je veuille accomplir, puissé-je le faire avec la puissance de mon amour pour moi-même.
À partir d’aujourd’hui, je m’aime tellement moi-même que je ne fais plus rien contre moi.
Je peux vivre ma vie en étant moi-même et non en prétendant être quelqu’un d’autre dans le but de plaire à autrui.
Je n’ai plus besoin que les autres disent du bien de moi, car je sais qui je suis.
Grâce à mon amour pour moi, je prends désormais plaisir à l'image que me renvoie le miroir de moi-même. Qu’un sourire illumine mon visage et qu’il accroisse ma beauté intérieure et extérieure.
Je ressens un tel amour pour moi que ma propre présence m’est toujours un plaisir.
Je m’aime sans jugement car lorsque je me juge, il en résulte des reproches et de la culpabilité puis le besoin de me punir, de sorte que je perds de vue mon amour.
Je fortifie ma volonté de me pardonner en cet instant.
Je nettoie mon esprit de tout poison émotionnel et de tout jugement afin de vivre dans la paix et l’amour.
Que mon amour pour moi-même soit la force qui change le rêve de ma vie !
Armé de ce nouveau pouvoir dans mon cœur, le pouvoir de l’amour de soi, je transforme chacune de mes relations, à commencer par celle que j’ai avec moi-même.
Je me libère de tout conflit avec autrui.
Je suis heureux (se) de passer du temps avec ceux qui me sont chers et je leur pardonne toute injustice encore ressentie en moi.
Je m’aime tellement que je peux pardonner quiconque m'a blessé(e) dans mon existence.
J'ai le courage d’aimer ma famille et mes amis sans conditions et de modifier mes relations de la façon la plus positive et la plus empreinte d’amour.
Je crée de nouveaux canaux de communication dans mes relations, de manière à ce qu’il n'y ait plus de guerre de pouvoir, ni de perdant ou de gagnant.
Je peux travailler en équipe, pour l’amour, pour la joie et pour l'harmonie.
Mes relations avec ma famille et mes amis sont fondées sur le respect et la joie, afin de ne plus ressentir le besoin de leur dire comment penser ou se comporter.
Mes relations romantiques sont les plus merveilleuses.
La joie m’envahit chaque fois que je partage mon amour avec mon partenaire.
J’accepte les autres tels qu’ils sont, sans jugement, car lorsque je les rejette, je me rejette moi-même. Et quand je me rejette, on me rejette.
Aujourd’hui, je prends un nouveau départ.
Je recommence ma vie en ce jour avec la puissance de l’amour de soi.
J’apprécie ma vie, j’apprécie mes relations, j’explore la vie, je prends des risques, je suis vivant (e), je ne vis plus dans la crainte de l’amour.
J’ouvre mon cœur à l’amour qui est mon droit de naissance.
Je deviens Maître de la Gratitude, de la Générosité et de L'amour afin de pouvoir jouir de toutes les créations à tout jamais
Ce dont vous avez besoin viendra lorsque vous accepterez d’accueillir ce que vous méritez
Article posté par Vanessa sur mon groupe "Guidances et Soins énergétiques"
Lorsque tu seras conscient de ce que tu mérites, que tu te l’accorderas et que tu apprendras à te faire passer de temps en temps avant les autres, ce dont tu auras vraiment besoin arrivera. Ce n’est pas de la magie, ni l’univers tissant ses lois de l’attraction. Il s’agit de notre propre volonté à être heureux, à prendre les rênes de notre vie…
Commençons par une petite réflexion… Que pensez-vous mériter à ce jour ?
Il se peut que vous ayez pensé à un peu de repos, ou alors vous souhaiteriez que le temps ne passe pas aussi vite, pour pouvoir prendre le temps d’apprécier tout ce qui vous entoure et profiter du moment présent, sans stress, ni anxiété.
Vous avez peut-être également pensé que vous «méritez quelqu’un qui vous aime«, et que l’on vous reconnaisse un peu plus. On fait souvent beaucoup d’efforts pour les autres et ils ne voient pas toujours ce à quoi nous avons renoncé pour eux.
A l’intérieur, nous savons bien ce que nous méritons. Cependant, le reconnaître est parfois plus difficile, car nous avons peur d’adopter une attitude égoïste.
Comment dire à voix haute des choses telles que : «j’ai besoin qu’on m’aime«, «je mérite d’être respecté(e)«, «je mérite d’être libre et de reprendre les rênes de ma vie» ?
En réalité, il suffit simplement de se les dire à soi-même.
Nous ne devons pas nous tromper, car prendre soin de soi n’est en aucun cas une attitude égoïste. Au contraire, il s’agit d’un besoin vital qui permet de s’épanouir intérieurement et d’être heureux.
Nous vous invitions à réfléchir sur quelques points avec nous.
Les attitudes limitantes
La plupart d’entre nous ont pris pour habitude de développer tout au long de leur vie, de nombreuses attitudes limitantes.
Il s’agit de croyances souvent inculquées durant notre enfance, ou même parfois développées plus tard suite à des expériences déterminées.
Les attitudes limitantes sont ces pensées exprimées par des phrases telles que : «je ne vaux rien«, «je ne suis pas capable de le faire, je vais échouer«, «pourquoi essayer si les choses tournent toujours mal pour moi ?»…
Une enfance compliquée avec des parents qui ne nous ont jamais apporté de sécurité, ou même des relations affectives basées sur la manipulation émotionnelle, nous limitent généralement de façon déterminante. Nous devenons fragiles à l’intérieur et nous perdons peu à notre confiance en nous.
Restructurez vos croyances.
Vous êtes bien plus que vos expériences passées, et vous n’êtes pas défini par celui qui vous a fait du mal ou celui qui a bâti ces murs pour vous priver de votre liberté.
Vous méritez d’avancer, de lire votre personnalité intérieure et de reconnaître votre valeur, votre capacité à être «apte» de vivre et surtout, d’être heureux…
Ce que vous méritez, ce dont vous avez besoin
Ce que nous méritons et ce dont nous avons besoin sont aussi liés que les maillons d’une chaîne. Voici un exemple : «j’ai besoin que quelqu’un m’aime». Il s’agit là d’un souhait bien courant. Cependant, commençons par changer l’expression «j’ai besoin» par «je mérite».
Vous méritez quelqu’un qui sache percevoir vos tristesses, qui soit attentif à vos paroles, qui sache déchiffrer vos peurs et être l’écho de vos rires.
En changeant l’expression de besoin par l’expression de mérite, vous éliminez ce lien d’attache toxique que vous développez parfois dans vos relations affectives.
Si nous avons besoin de quelque chose pour être heureux, nous devenons prisonniers de nos propres émotions.
Commencez par vous-même. Soyez la personne que vous voudriez avoir à vos côtés, celle qui mérite de partager votre vie.
Nous vous suggérons également de travailler auparavant sur ces quelques points :
Libérez-vous de vos peurs.
Profitez de votre solitude, apprenez à lire votre personnalité intérieure, et à ressentir plus d’empathie envers vous-même, comme vous le faîtes déjà pour les autres.
Cultivez votre épanouissement personnel, profitez de l’instant présent, de ce que vous êtes et de comment vous êtes.
Apprenez à être heureux avec humilité, en désactivant votre ego et en gagnant de la maturité émotionnelle.
Quand vous vous accorderez tout ce dont vous méritez, en devenant ainsi la meilleure version de vous-même, ce dont vous avez besoin arrivera.
Prendre soin de soi ce n’est pas être égoïste
La plupart du temps, nous restons prisonniers de ces pensées limitantes que nous exposions plus haut.
En effet, certaines personnes trouvent leur bonheur en donnant tout aux autres, en leur portant de l’attention, en les soutenant, et même en renonçant à certaines choses.
Il est possible que vous ayez été éduqué ainsi. Cependant, il arrive toujours un moment où nous avons besoin de faire le bilan et où l’on se rend compte que quelque chose nous manque. Le vide, la frustration et la souffrance émotionnelle se font alors ressentir…
Comme toute chose dans cette vie, il existe l’harmonie, la conjonction de votre espace et de mon espace, de vos besoins et de nos besoins.
La vie de famille, la vie de couple ou n’importe quel contexte social doit se construire par le biais d’un accord équilibré où tout le monde y gagne et où personne n’est mis de côté.
Dans les moments difficiles, nous perdons parfois le contrôle de notre vie, et nous quittons notre rôle d’acteur principal pour ne devenir que figurant.
Nous vous suggérons de réfléchir quelques instant à ces brèves idées :
- Je mérite un jour de repos, rien que pour moi, seul(e). Cela m’offrira ce dont j’ai besoin : penser, me libérer du stress et relativiser les choses.
- Je mérite d’être heureux, c’est peut-être le moment de «laisser partir» certaines personnes ou certains aspects de ma vie. Cela me permettra d’obtenir ce dont j’ai besoin : de nouvelles opportunités.
Nous méritons tous de ne plus être prisonniers de la souffrance et de nos propres attitudes limitantes. Ouvrez les yeux, déchiffrez vos nécessités, écoutez-vous.
Quand vous vous autoriserez à accueillir ce que vous méritez, ce dont vous avez besoin arrivera à son tour.
Prendre soin de soi, un geste égoïste ?
Article posté par Vanessa dans mon groupe "Guidances et Soins énergétiques"
Avez-vous été amené à croire que prendre soin de soi était égoïste ?
La plupart ont appris que pour être une bonne personne, ils doivent être « désintéressées » et prendre soin des autres… parfois au détriment de leur bien-être personnel.
Voici quelques questions :
• Avez-vous été amené à croire que négliger vos propres besoins et prendre soin des autres conduirait au bonheur et à l’épanouissement ?
• Avez-vous appris que si vous prenez soin des autres, alors ils prendront soin de vous et vous donneront l’amour dont vous avez besoin ?
Si vous avez répondu « Oui » à l’une de ces questions, en voici encore une :
• Est-ce que cela fonctionne ?
Selon certaines théories, prendre soin des autres pourrait vous amener à vous sentir seul, déprimé et plein de ressentiments et il y aurait une bonne raison à cela. Quand vous négligez vos propres sentiments et besoins, vous êtes fondamentalement en train de vous abandonner. Ce qui est intéressant, c’est que vous pouvez imaginer combien c’est douloureux pour une autre personne de se négliger, mais pas pour vous-même. En réalité, la dynamique est la même.
Par exemple, imaginez que vous avez un enfant et au lieu de lui donner de l’amour et de l’attention, vous vous détournez et choisissez d’en donner à l’enfant d’à côté. Votre enfant ne se sentirait-il pas seul, déprimé et en colère ? Eh bien, le brassage de ces émotions négatives est ce qui arrive à votre propre enfant intérieur (nous en avons tous un) lorsque vous choisissez de donner la priorité aux autres, au lieu de vous-même. Il y a un prix à cela.
En fait, prendre soin de vous-même est tout le contraire d’être égoïste. C’est être responsable.
Lorsque vous vous engagez à prendre soin de vous, vous reconnaissez vos propres sentiments et besoins et vous les traitez dans le moment présent, vous vous sentez alors plein d’amour et de bonne énergie et votre Etre intérieur s’épanouit. Voilà pourquoi vous pouvez ensuite partager assez d’amour avec les autres. Ce genre d’amour est authentique et durable. Il ne naît ni du désir d’être reconnu comme une bonne personne ni du besoin d’obtenir de l’amour et de l’approbation. C’est l’amour sans attente qui apporte une liberté émotionnelle.
Aussi, lorsque vous prenez soin de vous-même avant de le faire pour les autres, vous leur donnez l’occasion d’apprendre à prendre soin d’eux-mêmes. A part les bébés, les personnes âgées ou les malades, prendre soin des autres est souvent dévalorisant. À un certain niveau, votre attitude leur envoie le message qu’ils sont incapables de prendre soin d’eux-mêmes. Cela se produit souvent avec certains parents qui sont déplorablement aux petits soins de leurs enfants, de telle sorte que ces derniers se sentent incapables de faire face à la vie.
Si vous avez pris l’habitude de prendre soin des autres plutôt que de vous-même, les gens autour de vous pourraient ne pas comprendre quand vous commencerez à vous soucier de vous. Mais même s’ils s’en étonnent au début, cela ne signifie pas que votre prise de responsabilité ne leur sera pas bénéfique à long terme. Vous les amènerez ainsi à s’autoresponsabiliser également. Ce n’est pas parce que les personnes autour de vous n’apprécient pas le fait que vous commenciez à prendre soin de vous-même que votre comportement n’est pas un geste d’amour (pour vous et pour eux). Rappelez-vous que ceux qui vous aiment vraiment veulent que vous soyez heureux et applaudiront votre décision ; par contre, les gens qui, peut-être inconsciemment, vous utilisaient, seront en colère contre vous.
Il faut du courage pour changer votre intention de prendre soin des autres à vos dépens (ce qui implique souvent un désir de contrôler les autres) pour votre épanouissement personnel. Ce n’est qu’à ce moment-là que vous serez en mesure de partager un véritable amour avec les personnes qui seront également disposées à l’accepte
La différence entre la confiance en soi, l’estime de soi et l’amour de soi ?
Bien que ces trois aspects de soi semblent difficiles à différencier, il y a tout de même des particularités différentes pour chacun.
1) LA CONFIANCE EN SOI
C'est l’assurance, le courage qui vient de la conscience qu’on a de sa propre valeur. Je ne parle pas ici de l’assurance qui vient après avoir expérimenté quelque chose et l'avoir bien appris. La personne avec une vraie confiance en elle n’oublie pas sa valeur même lorsqu’elle tente une expérience pour la première fois. Elle est tellement en contact avec sa valeur intérieure que, même si elle rate son coup lors dune première expérience, elle est capable d’être bien dans sa peau et d’accepter de n’avoir pas réussi. Elle ne s'en veut pas, elle sait que ça fait partie de l’apprentissage nécessaire pour apprendre quoi que ce soit.
Tandis qu’une personne sans confiance en elle est ébranlée au moindre échec. Elle juge ce qu'elle est, par ses résultats et non par sa valeur. Elle hésitera ou n’osera pas recommencer par peur d'un autre échec.
On peut reconnaître une personne qui a vraiment confiance en elle par sa capacité de se confier, de parler ouvertement d'un échec, sans peur d’être critiquée ou d’être jugée. Plus une personne a peur de se faire juger et n’ose pas se révéler telle qu'elle est, moins elle a confiance en elle.
2) L’ESTIME DE SOI
Elle est associée à l'image que l'on a de soi-même, contrairement à la confiance qui est plus en rapport avec la valeur de l'être.
L'image de soi est basée sur ce que nous croyons de nous. On peut vérifier cette image en faisant une liste de toutes les qualités et les défauts que nous voyons en
nous. Une personne avec une pauvre image d’elle-même est celle qui a de la difficulté à se trouver des qualités. Elle se déprécie facilement.
L’estime de soi se situe beaucoup plus au niveau du senti. Cest la réponse à la question "Comment est-ce que je me sens avec l'image que j'ai de moi-même ?"
On peut donc dire que la confiance en soi nous aide particulièrement à passer à l’action, à oser risquer. Elle se situe plus dans le FAIRE. Tandis que l’estime de
soi se situe davantage au niveau du SENTI. Il est vrai qu’une influence directement l’autre. Le fait d’améliorer notre image a pour effet d’améliorer notre estime et par conséquent, va aider à développer davantage de confiance en soi.
3) L’AMOUR DE SOI
C'est autre chose. C'est la capacité de se donner le droit, de s’accepter, dans tous nos états d’être, qu’ils soient positifs ou négatifs. C'est être capable de se regarder, s’observer dans ce que nous sommes à chaque instant, sans aucun jugement de bien ou de mal.
C'est s’accepter dans nos limites, nos peurs, nos faiblesses, nos croyances, notre différence, nos goûts, etc. C'est être capable de s’observer même si nous avons
des comportements négatifs. La plupart des gens s’aiment quand ils agissent en fonction de ce qu’ils ont appris : être gentil, sympathique, poli, aimable.
Ce n'est pas de l’amour véritable. Ce genre d’amour est basé sur la peur de ne pas être aimé. L’amour véritable, inconditionnel, est celui qui ne juge pas.
C'est être capable d’admettre que nous sommes sur cette terre pour vivre des expériences et qu’il n'y a pas d’erreurs, seulement des expériences différentes
pour devenir plus conscient, plus intelligent et nous aider à développer notre discernement pour arriver à écouter nos besoins. Nous voulons tous, au plus
profond, vivre une vie harmonieuse dans tous les domaines.
Afin d’y arriver, nous devons nous accepter dans ce que nous ne voulons pas être avant d’arriver à être ce que nous voulons être. Voilà l’amour de soi tant recherché
Oser être soi
Un petit conte pour changer !
Tang était un petit ouvrier dans un royaume d’Orient.
Il travaillait le cuivre et fabriquait de magnifiques ustensiles qu’il vendait sur le marché.
Il était heureux de vivre et avait une bonne estime de lui-même.
Il n’attendait plus que de trouver la femme de sa vie.
Un jour, un envoyé du roi vint annoncer que celui-ci désirait marier sa fille au jeune homme du royaume
qui aurait la meilleure estime de lui-même.
Au jour dit, Tang se rendit au château et il se trouva au milieu de plusieurs centaines de jeunes prétendants.
Le roi les regarda tous et demanda à son chambellan de remettre à chacun cinq graines de fleurs,
puis il les pria de revenir au printemps avec un pot de fleurs issues des graines qu’il leur avait fait remettre.
Tang planta les graines, en prit grand soin, mais rien ne se produisit, pas de pousse, pas de fleurs.
A la date convenue, Tang pris son pot sans fleur et partit pour le château.
Des centaines d’autres prétendants portaient des pots remplis de fleurs magnifiques
et ils se moquaient de Tang et de son pot de terre sans fleurs.
Alors le roi demanda à ce que chacun passe devant lui pour lui présenter son pot.
Tang arriva, un peu intimidé devant le roi : « Aucune des graines n’a germé votre majesté », dit-il.
Le roi lui répondit : « Tang, reste ici auprès de moi ! »
Quand tous les prétendants eurent défilé, le roi les renvoya tous, sauf Tang.
Il annonça à tout le royaume que Tang et sa fille se marieraient l’été prochain.
Ce fut une fête extraordinaire !
Tang et la princesse devenaient toujours plus amoureux l’un de l’autre.
Ils vivaient très heureux.
Un jour, Tang demanda au roi, son beau-père :
« Majesté, comment se fait-il que vous m’ayez choisi pour gendre alors que mes graines n’avaient pas fleuri ? »
« Parce qu’elles ne pouvaient pas fleurir, je les avais fait bouillir durant toute une nuit !
Ainsi, tu étais le seul à avoir assez d’estime de toi-même et des autres pour être honnête !
C’était un tel homme que je voulais pour gendre ! »
4 - Quelques outils pour développer l’estime de soi en tant qu’adulte
Comme nous l’avons vu au cours des pages qui précèdent, développer l’estime de soi lorsque nous sommes adultes débute par une prise de conscience de ce qui pose problème puis par une modification de la communication interne et externe, par un réajustement des pensées erronées, par la prise de responsabilité de sa vie, par le développement de la capacité de compassion et par la décision d’honorer ses convictions.
D’autres voies peuvent aider à parcourir ce chemin et à vivre en croissance jour après jour.
Source : L'estime de soi : un bien essentiel
Articles qui font suite à cette introduction
Développer l’estime de soi en tant qu’adulte
Un spécialiste des techniques de « reparentage » écrivait un jour :
« Il n’est jamais trop tard pour avoir une enfance heureuse ! »
Nous pourrions paraphraser cela en écrivant :
« Il n’est jamais trop tard pour développer l’estime de soi-même ! »
Bien entendu, lorsqu’un enfant est accompagné tout au long de sa croissance par des parents compétents, capables de lui donner les messages appropriés alors qu’il grandit, cet enfant développe naturellement l’estime de lui-même. Il atteint l’âge adulte en possession du plus grand trésor qui soit : une bonne estime de lui-même.
Lorsque ce n’est pas le cas, lorsque pour des raisons diverses les parents ou ceux qui les remplaçaient, lorsque les circonstances n’ont pas offert à l’enfant les conditions nécessaires au développement de l’estime de soi, l’adulte qu’il devient souffre de différentes manières. C’est tout particulièrement lors d’épisodes douloureux – tels que échec, divorce, licenciement, dépression – que l’adulte prend conscience de sa carence d’estime de lui-même et qu’il recherche des moyens lui permettant de se développer.
A ce moment-là, la personne commence par blâmer les circonstances de sa vie. Elle réalise qu’elle n’a pas reçu ce qu’elle était en droit d’attendre de la part de ses parents et de son environnement, elle blâme ses proches, son manque d’instruction, sa timidité, son apparence, son entourage.
Elle peut tente de se former, de perdre du poids, de changer de travail, d’apprendre à s’affirmer et, même si parfois elle atteint son but et peut modifier les circonstances de sa vie, elle réalise très vite qu’elle en est au même point et que son estime d’elle-même n’a pas changé.
Ces dernières années, de nombreux spécialistes se sont intéressés à cette question et sont arrivés à la conviction que l’estime de soi d’un adulte est en relation directe avec son processus de pensée, avec ce que cette personne pense d’elle-même et se dit à elle-même, avec sa façon d’interpréter ce que les autres lui disent. Les circonstances extérieures peuvent agir sur l’estime de soi, bien sûr, mais elles ne déterminent pas l’estime de soi d’une personne.
C’est la personne elle-même – et uniquement elle – qui peut décider de modifier sa vie en augmentant son estime d’elle-même.
Ce cheminement s’effectue à travers plusieurs étapes significatives :
-
Prendre conscience du problème
-
Modifier la communication interne et externe
-
Réajuster les pensées erronées
-
Prendre la responsabilité de sa vie
-
Développer la compassion
-
Honorer ses convictions
Source : L'estime de soi : un bien essentiel
Les bienfaits des soins énergétiques
Notre mode de vie actuel et notre environnement génèrent de plus en plus d’interférences négatives qui perturbent le bon fonctionnement de la connexion énergétique entre l’Homme et la Nature (sédentarisation, alimentation inappropriée, stress, émotions négatives, chocs psychologiques, rayonnements électromagnétiques, etc…).
Notre corps énergétique joue véritablement le rôle de protecteur du corps physique. De ce fait, tout affaiblissement de ce corps énergétique entraîne, à une certaine échéance, une vulnérabilité du corps physique : la fatigue s’installe durablement et la maladie peut prendre le dessus.
Le soin énergétique permet d'équilibrer le système énergétique de l'être humain en harmonisant le fonctionnement de ses centrales énergétiques (chakras) et en éliminant les blocages de ses canaux d’alimentation (vaisseaux, méridiens et nadis).
L'harmonisation et la revitalisation du corps énergétique permet, en général, d’initier un processus d'auto-guérison du corps physique.
Les soins énergétiques peuvent être effectués en direct ou à distance. Voici une notion qu'il est difficile à comprendre et à accepter lorsqu'on a un cadre de références très "Terre-à-Terre" : effectuer des soins énergétiques à distance.
Il y a une dizaine d'années, lorsque j'étais encore policier judiciaire et que l'on me parlait de cela, je répondais que c'était de la bêtise et je qualifiais de charlatans tous ceux qui prétendaient pouvoir transmettre des soins à distance. Ma mère faisait partie du lot, puisqu'elle pratiquait le magnétisme en direct et à distance.
Mais le chemin de la vie comporte de nombreux méandres et réserve d'inattendues surprises. En 2006, lorsque j'ai été formé au deuxième niveau du Reiki Usui, on m'a appris à transmettre un soin à distance.... Et, contre toute attente et croyance, cela a très bien fonctionné. Donc maintenant, j'ai appris qu'il ne faut jamais dire"fontaine, je ne boirai pas de ton eau".
Lors d'une consultation directe, les effets des soins énergétiques sont immédiats : on enlève des douleurs, des blocages et cela a un impact direct sur les émotions discordantes. Les soins énergétiques transmis à distance travailleront plus sur le long terme et la gestion des émotions.
Les soins énergétiques, en général, permettent le plus souvent d’améliorer la santé. Si la médecine traditionnelle détermine qu’une maladie peut être guérie, alors, les soins énergétiques accéléreront le processus de guérison. Par contre, si la médecine traditionnelle détermine que la maladie ne peut pas être guérie, alors les soins énergétiques permettront d'alléger les souffrances causées par la maladie.
Phobies, stress, peurs, anxiété, angoisses, découragement, grande fatigue, dépressions, difficultés relationnelles, frustrations, traumatismes non résolus, perte de libido, troubles énergétiques et émotionnels consécutifs à des chimiothérapies et surtout fibromyalgie sont quelques-uns des symptômes traités efficacement par les techniques de soins énergétiques.
Les soins énergétiques permettent également d’effacer des mémoires cellulaires discordantes. Donc de libérer le patient de traumatismes inconscients qui trouvent leurs origines dans la petite enfance ou dans le ventre de la Mère.
Les soins énergétiques apportent également une aide appréciable en cas de sevrage aux dépendances (tabac, alcool, stupéfiants, etc…).
Les soins énergétiques stimulent la guérison et apportent :
- Un évident regain d’énergie
- L’amélioration de la vitalité
- Le renforcement du système immunitaire
- Le soulagement de la douleur et des inflammations
- La stimulation du processus de régénération cellulaire
- Une réduction du stress
- Un bien-être général
- La libération des blocages physiques, émotionnels et mentaux
- La paix intérieure
- L’harmonisation globale de l’être aux niveaux physique, émotionnel, mental et spirituel
- L'alignement corps, âme et esprit
- L’épanouissement spirituel.
Tous ces bienfaits optimaliseront votre vie et harmoniseront vos relations avec les autres et ils vous permettront de retrouver confiance en vous.
« Je rayonne autour de moi ce que je suis donc j’attire à moi ce que je suis ».
Si vous rayonnez de l’énergie positive, vous attirerez des événements et des êtres positifs et votre vie en sera agréablement transformée.
Les soins énergétiques vous permettront d’atteindre ce but.
Remarque importante :
Les soins énergétiques, en général, ne remplaceront jamais les soins médicaux ni les traitements prescrits par des médecins. Un thérapeute énergéticien n'est généralement pas docteur en médecine. De ce fait, il n'est pas qualifié pour poser un quelconque diagnostic médical. Si vous êtes atteint d’une maladie qui peut guérir, alors les soins énergétiques optimaliseront votre guérison. Si votre maladie est incurable, ils permettront d'alléger vos souffrances.
Je vous souhaite de vivre de merveilleux moments.
Dans la Lumière du Coeur.
René
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René Dumonceau
Facilitateur de mieux-être
Révélateur du potentiel énergétique et intuitif de chacun
Initiateur du Reiki Verseau, des Méthodes RéCIPE et IESBI
Conseiller en Feng Shui
Source de cet article - René Dumonceau : www.commenserelaxer.com
La crise de la guérison (après soin énergétique/reiki)
Les réactions de nettoyage et de détoxication font partie du processus de guérison du corps. Elles sont des signes que le corps s'ajuste. Cette période d'élimination des toxines est parfois appelée « la crise de guérison ».
Pendant cette période certaines parties du corps contribuent à accélérer le processus d'élimination :
1. le système digestif modifie les selles
2. le système urinaire transforme les urines
3. la peau transpire plus
Les symptômes d'inconfort apparaissent parfois durant une crise de guérison :
• fatigue générale
• douleurs, maux de tête, courbatures
• problèmes cutanés, sueurs abondantes et odeurs corporelles
• mictions fréquentes, diarrhée ou constipation
• fièvre ou sensation de froid
• arrêt des menstruations ou perte de désir sexuel
• irritabilité et sommeil agité
Il est difficile pour les personnes consommant régulièrement des médicaments de comprendre et d'admettre ces phénomènes naturels d'élimination et de régénération du corps. Il est important de laisser au corps la chance de se régénérer sans l'utilisation de drogues qui viendraient changer les signaux envoyés au cerveau car ces symptômes signifient que le corps a entamé son processus de guérison. Une personne doit apprendre à reconnaître le langage de son corps ; par exemple, une toux persistante, une douleur tenace, du sang dans les selles ou les urines, etc. Ce sont tous des signes pour lesquels une visite chez le médecin s'impose. Pour compléter l'effet curatif il faut continuer à stimuler les symptômes. On traite souvent les désordres mineurs avec une médication qui supprime les symptômes et annihile le système de défense du corps. Plutôt que de supprimer les symptômes, on doit chercher à interpréter et à comprendre les changements qui surviennent lorsqu'on change sa façon de vivre, lorsqu'on diminue son alimentation, la consommation de café, de cigarette ou d'alcool par exemple. Le sevrage ce divise la plupart du temps, en trois phases avant d'atteindre le bien-être recherché :
1. Le Catabolisme, c'est à dire la dégradation biochimique de substances organiques. Ceci inclut le processus de digestion, les déchets sont évacués en moins de temps qu'il n'en faut au système pour transformer en nouveaux tissus la nourriture ingérée. Cela est évident même dans les diètes amaigrissantes.
2. La Stabilisation : Les déchets évacués quotidiennement égalent la masse tissulaire nouvellement formée. Le poids reste stable.
3. Anabolisme : Se produit lorsque la nourriture ingérée est transformée pour construire ou renouveler les tissus pour permettre l'activité des cellules et la croissance. Cette croissance se fait lorsque la formation de nouveaux tissus se fait plus rapidement que l'élimination des déchets. En règle générale, un changement de style de vie provoque une réaction dans les trois mois suivants. Une crise de guérison peut durer de quelques heures à quelques jours tout au plus. Plus une personne est jeune plus la détoxication se fait rapidement. Plus d'une crise de guérison peuvent survenir avant que le corps élimine complètement ses toxines. Chaque crise est suivie d'un regain d'énergie et d'un plus grand bien-être physique. La chose la plus dure durant cette période est de ne pas se décourager et de tirer des leçon de cette expérience. Se rappeler qu'améliorer son style de vie ne eut qu'améliorer sa santé. Ce qu'il faut faire durant cette crise Le but est d'aider le corps à fonctionner le mieux possible. Utiliser une médication peut compromettre le processus de guérison. Il faut donc éviter le plus possible la prise de médicaments durant cette période.
• Durant cette phase de nettoyage, il faut éviter toute nourriture riche en protéines et en gras, parce que ces aliments sont difficiles à digérer et sollicitent trop l'organisme. Les repas doivent rester simples, légers et nutritifs. Il est recommandé de boire beaucoup d'eau et de manger des grains entiers, fruits et légumes frais.
• Relaxer, car la crise de guérison passe plus vite si le stress est diminué.
• Éliminer, les toxines et les déchets corporels sont éliminés par les intestins. Si l'élimination se fait mal, les toxines retournent dans le sang par le colon et se remettent à circuler à travers tout le corps contribuant ainsi à l'intoxiquer à nouveau (à le ré empoisonner). Il est important d'éliminer d'une façon régulière même si il faut parfois avoir recours à un laxatif naturel comme le jus de pruneau. Évitez les laxatifs autant que possible, même les naturels. Dès que l'élimination est régularisée, le corps peut prendre la relève et fonctionner normalement si vous vous alimentez bien.
• Faire des exercices, c'est essentiel, il oxygène vos cellules et aide la détoxication. La marche par exemple est l'un des meilleurs exercices et est à la portée de tous. 30 min, 4 à 6 fois par semaine est très efficace.
• Bain Purifiant, une autre façon d'éliminer les toxines est de prendre un bain chaud dans lequel vous aurez ajouté deux tasses de Bicarbonate de Soude (qui neutralise les acides des toxines) ou de Sel d'Epson. (Ceci élève les ions de l'eau à un niveau supérieur à celui du corps ce qui favorise l'élimination des toxines.)
Il est important de boire de l'eau après pour remplacer les fluides sortant par les pores. LA LOI CURATIVE DE HERING « Toute les guérisons débutent en notre for intérieur, commençant par la tête et descendant aux pieds, et inversement dans l'ordre à lequel les symptômes se sont manifestés. » Autrement dit, une crise de guérison se produit seulement quand un individu est prêt physiologiquement et psychologiquement. La base de toute guérison réside dans la préparation alimentaire. Une crise de guérison débute à l'intérieur et inversement au moment et à la façon dans lesquels les symptômes sont apparus. Souvent lorsqu'une personne entreprend une nouvelle thérapie ou un nouveau programme nutritionnel, elle retrouve un regain d'énergie et un mieux-être en quelques heures ou quelques jours. Peu de temps après tout peu changer,les symptômes et la douleur peuvent réapparaître. Si une personne n'a pas été prévenue de ce phénomène de « crise de guérison » elle peut paniquer et s'en remettre aux médicaments pour se sentir mieux. Les médicaments suppriment les symptômes(qui sont en fait les efforts que le corps fait pour se débarrasser des toxines) et stoppent le processus de guérison. N'oubliez pas que votre corps est extrêmement intelligent et s'il utilise les bons outils, alimentation saine et équilibré, suffisamment d'air frais et d'eau, des périodes de repos et de sommeil satisfaisantes et une attitude de pensée positive, il passera à travers la crise de guérison et se guérira de lui-même. Faite-vous confiance.
Allison
Source : « The healing Crisis » l'encyclopédie de la guérison naturelle de Siegfried Gursche,
MH, et Zoltan Roma, M.Sc, M.D,
Alive Publishing Inc/Natural Life Publishing Inc, 1997.
2 - Les sources fondamentales de l'estime de soi
L'importance de l'estime de soi est incommensurable, comme nous l'avons vu.
La question cruciale à se poser est :
Comment élever un enfant de manière à ce qu'il ait une bonne estime de lui-même ?
Eric Berne, le fondateur d'analyse transactionnelle a identifié trois soifs fondamentales manifestées par l'enfant et que ses parents - ou tout autre adulte qui prend soin de lui - sont censés étancher.
L'enfant, comme l'adulte et l'adolescent, ont besoin de stimulations, de reconnaissance et de structures.
Les enfants ont besoin d'être touchés, ils ont besoin que nous fassions attention à eux et que nous prenions soin d'eux. Privés de soins, ils ne se développent pas.
L'attention qui leur est donnée répond à leur soif de reconnaissance, d'être reconnus et le fait d'être touchés, pris dans les bras, répond à leur soif de stimulations.
C'est à travers ces soins attentifs et ce soutien que l'enfant comprend qu'il est important et qu'il est aimé.
Un enfant a également besoin de structures, de certitudes. Il a besoin de se sentir en sécurité et de pouvoir faire confiance aux adultes qui l'entourent ; il a besoin de construire sa propre structure intérieure et, pour cela, il doit avoir des limites souples et d'autres fermes qui l'aident à e construire intérieurement.
L'enfant a besoin de savoir qu'il y a des règles non-négociables qui ont trait à sa sécurité. En enseignant ces limites, les parents donnent à l'enfant des informations précieuses à propos de lui-même et de l'environnement. Ils lui permettent d'intérioriser la nécessité de se soumettre à certaines règles qui favorisent la vie en société.
Ces trois soifs, lorsqu'elles sont prises en considération par les parents, représentent les fondations de l'estime de soi.
En répondant aux trois soifs mentionnées ci-dessus, tout au long du développement de l'enfant, les parents lui donnent aussi d'innombrables autres messages. Ils lui servent de modèle, car l'enfant apprend en imitant, ils lui disent beaucoup de choses, ils parlent de lui à d'autres personnes, ils le félicitent ou le blâment tout au long de la journée.
Différents auteurs, tels que Pamela Levin et Jean I. Clarke ont identifié les messages positifs qui permettent le développement optimum de l'estime de soi. Lorsqu'ils ont dit avec sincérité et amour, ces messages sont très puissants.
Chaque étape du développement de l'enfant est accompagnée de messages.
Ces messages ne sont pas toujours ou uniquement donnés verbalement. Ils peuvent être transmis par la manière dont les parents et les proches de l'enfant se comportent avec lui, par la manière dont ils vivent leur vie et leurs relations interpersonnelles.
La manière dont un enfant est regardé, touché, nourri, changé, porté lui permet de comprendre très rapidement l'intérêt que lui portent ceux qui l'entourent.
1 - Qu'est ce que l'estime de soi ?
Le niveau d'estime de soi que manifeste une personne influence tout ce qu'elle dit, tout ce qu'elle pense, tout ce qu'elle fait.
Très vite, il est possible de reconnaître une personne qui a une haute estime d'elle-même car elle jouit de la vie, elle est ce qu'elle veut être et fait ce qu'elle veut faire, elle est capable de prendre la responsabilité de sa vie sans blâmer les autres et sans chercher d'excuses.
Au contraire, une personne qui a peu d'estime d'elle-même rencontre d'innombrables difficultés dans sa vie personnelle, relationnelle et professionnelle. Elle se sent inadéquate, coupable, peu sûre d'elle-même.
L'estime de soi n'est jamais totalement présente ou totalement absente, chaque personne se situe quelque part sur une échelle imaginaire qui va de zéro à cent. Il est impossible d'avoir une absence totale d'estime de soi ou une présence totale d'estime de soi en toutes circonstances.
Bien qu'il soit difficile de définir simplement l'estime de soi, il est admis actuellement qu'elle comprend deux aspects complémentaires :
- d'une part, la perception d'une compétence personnelle
- d'autre part, la conviction intime d'avoir de la valeur en tant que personne.
En d'autres termes, nous pourrions aussi dire que l'estime de soi parle de l'être et de l'agir.
L'estime de soi reflète le jugement que nous portons sur notre capacité de faire face aux défis de la vie, de comprendre et de maîtriser les problèmes ainsi que sur le fait d'accepter pour nous-mêmes le droit au bonheur, à la joie, à l'affirmation de notre existence et de notre importance en tant qu'être humain unique et irremplaçable.
Avoir une bonne estime de soi, c'est se percevoir compétent et digne de respect.
Avoir une mauvaise estime de soi, c'est ne pas se sentir digne de vivre pleinement, c'est croire que l'on n'est "pas assez bien".
La plupart des gens fluctuent entre une bonne et une mauvaise estime d'eux-mêmes selon les circonstances. Certains ont une bonne estime de leurs compétences, mais ne se sentent pas dignes d'être aimés. D'autres se sentent dignes d'être aimés et ne se sentent pas compétents. L'estime de soi est toujours une affaire de "degrés", elle est mouvante.
Plus une personne s'estime elle-même, plus elle peut utiliser sa créativité dans son travail, plus elle instaure des relations interpersonnelles positives, plus elle traite les autres avec respect, et moins elle se sent menacée par eux.
Plus l'estime de soi est présente, plus il y a de possibilités de vivre dans la joie.
Lorsque nous atteignons l'âge adulte, l'estime de soi est une expérience qui prend sa source dans la partie la plus profonde de nous-mêmes. Elle repose sur ce que nous pensons à propos de nous-mêmes, sur la manière dont nous nous voyons, sur ce que nous ressentons par rapport à la personne que nous sommes.
Tous les enfants n'ont pas le privilège de développer une bonne estime d'eux-mêmes et, devenus adultes, ils cherchent, souvent en vain, quelqu'un ou quelque chose qui pourrait leur donner cette estime d'eux-mêmes qui leur manque tellement.
Le problème, c'est qu'une fois devenus adultes, la construction de leur estime d'eux-mêmes devient leur affaire, leur responsabilité, personne d'autre ne peut leur "faire ressentir" qu'ils sont dignes d'être aimés et compétents, c'est un travail de développement personnel qu'eux seuls peuvent accomplir.
Lorsqu'une personne a une authentique haute estime d'elle-même, elle cesse d'être constamment en compétition avec les autres, elle ne se compare plus aux autres. Elle est en paix et en harmonie avec elle-même. Elle est prête à répondre d'une manière positive aux défis de la vie.
Nous confondons parfois : haute estime de soi et orgueil ou arrogance ; il est utile de bien clarifier cela. Une personne qui a une bonne estime d'elle-même n'est pas arrogante, elle n'est pas orgueilleuse non plus. Elle n'a pas besoin de se surestimer ou de sous-estimer les autres, elle est profondément consciente de sa propre valeur et de celle de chaque être humain, elle n'a pas besoin de se mettre en avant en écrasant les autres ou en leur portant ombrage.
Une personne qui a une bonne estime d'elle-même ne se surévalue pas non plus. Elle est consciente de ses limites, lucide concernant ses capacités, elle accepte les critiques qui peuvent lui être utiles.
Bref questionnaire destiné à prendre conscience de son niveau d'estime de soi
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VRAI |
FAUX |
1 |
J'admets mes erreurs |
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2 |
J'ose aller vers les gens inconnus |
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3 |
Je peux maintenir mes valeurs lorsque les autres ne les approuvent pas |
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4 |
Je peux accepter facilement un compliment |
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5 |
Je peux être moi-même au milieu des autres |
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6 |
Je m'accepte avec mes faiblesses |
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7 |
Je peux parler de mes forces |
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8 |
Je me réjouis des succès des autres |
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9 |
Je ne me compare pas aux autres |
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10 |
Je me sens paisible |
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11 |
J'accepte les différences entre les autres et moi |
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12 |
Je suis capable de m'affirmer |
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13 |
J'exprime ouvertement mon amour ou mon affection pour les autres |
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14 |
Je m'aime et j'apprécie ma compagnie |
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15 |
J'accepte toutes mes émotions |
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16 |
Je crois que je suis unique |
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17 |
J'aime être seul avec moi-même |
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18 |
Je me donne le droit d'être spontané |
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Puis faites le compte de vos réponses.
Plus vous avez des réponses "vraies", plus vous avez d'estime de vous-mêmes.
Les effets d'une bonne estime de soi
Lorsqu'une personne a une bonne estime d'elle-même, elle manifeste un certain nombre de caractéristiques qui sont essentielles pour une vie épanouie et sereine.
Voici ces différentes caractéristiques :
- La personne s'accepte en tant qu'être humain en évolution. Elle sait qu'elle est en route, en développement, qu'elle n'est pas parfaite et que cela n'enlève en rien de son importance en tant que personne. Elle n'a pas honte de ce qu'elle est, de ses erreurs ou de ses manquements.
- Elle cherche à se connaître toujours mieux, à évoluer, à communiquer avec efficacité.
- Elle accepte de revoir ses certitudes, de questionner ses croyances tout en les honorant et en honorant celles des autres.
- Elle est désireuse d'entrer en contact avec les autres et d'apprendre à les connaître ainsi que le monde qui l'entoure.
- Elle a des buts clairs pour sa vie et trouve les informations et l'aide qui lui sont utiles pour les atteindre.
- Elle sait faire la différence entre les faits, les interprétations et les émotions. Elle assume la responsabilité de ses interprétations et de ses émotions.
- Elle est capable de vivre dans l'instant présent sans perdre de vue le contexte général.
- Elle est consciente des valeurs qui la guident et de leurs racines, elle n'est pas dirigée par des valeurs irrationnelles acceptées par son entourage.
En résumé, une personne qui a une bonne estime d'elle-même est en harmonie avec elle-même et avec le monde qui l'entoure. Elle est capable de vivre pleinement.
Un haut niveau ou un bas niveau d'estime de soi sont des aspects si importants de la vie que nous pouvons probablement dire que, mis à part les problèmes biologiques ou physiologiques, toutes les autres difficultés de la vie sont reliées peu à prou à une mauvaise estime de soi : qu'ils s'agisse d'anxiété, de dépression, d'alcoolisme, de dépendance des drogues ou des médicaments, de mauvais résultats scolaires, d'abus sexuels ou de violence conjugale, d'immaturité émotionnelle, ou de suicide, tous ces problèmes comprennent un élément de mauvaise estime de soi. Sans une bonne estime de soi, il n'y a pas de vie de qualité.
L'estime de soi n'empêche pas les difficultés de la vie, elle n'empêche pas les pertes, les deuils, les manques, les regrets, les échecs, elle permet simplement d'y faire face autrement. Selon que nous avons ou non une bonne estime de nous-mêmes, nous parcourons un cycle positif ou négatif qui peut être représenté de la manière suivante :
Dans les deux cercles, nous voyons la difficulté que la vie nous réserve : pertes, manques, deuils et échecs. Ces expériences suscitent des émotions bien normales : colère, tristesse, regrets, peurs (entre les deux cercles). Le point capital est ce que la personne peut faire de ces émotions.
- Elle peut entrer dans le cercle de gauche et cultiver le ressentiment, aller vers la détresse chronique, se percevoir comme une victime du destin ; elle peut éprouver du mal-être et de l'impuissance, se sentir déprimée ou désespérée.
- Il lui est possible aussi d'opter pour un autre chemin et d'entrer dans le cercle de droite, le cercle positif. Là, à partir des émotions ressenties, elle peut prendre conscience de ce qu'elle vit, de ses ressources, de ses difficultés, elle peut assumer la responsabilité de son interprétation des événements, de son attitude et de ses comportements. Elle peut apprendre à lâcher prise de ce qui cause sa souffrance, faire le deuil de ce qu'elle doit abandonner, pardonner, "boucler les boucles" et finalement s'accepter et s'aimer pour pouvoir librement accepter et aimer les autres.
C'est dans ce deuxième cercle, le cercle positif que peut entrer une personne ayant une bonne estime d'elle-même.
Face aux difficultés de la vie, aux pertes, aux changements, la personne qui a une bonne estime d'elle-même prend la responsabilité de ce qu'elle ressent. Elle ne dit pas : "Il m'a mise en colère !" "Elle m'a brisé ma vie !" mais plutôt "Je me suis mis en colère à cause de ce qu'il a fait !" ; "J'ai choisi de laisser cette personne briser ma vie !" ; "J'éprouve de la tristesse quand je pense à lui !".
Prendre conscience de ses émotions face aux situations et en assumer la responsabilité permet de faire le deuil, le lâcher prise et parfois de pardonner, de terminer les situations. Tout cela permet de s'accepter, de s'aimer et de pouvoir aimer les autres et par là d'augmenter encore son estime de soi.
Au contraire, lorsqu'une personne a une mauvaise estime d'elle-même, elle ne prend pas la responsabilité de ce qu'elle ressent, elle blâme l'entourage, éprouve du ressentiment. Elle se sent mal à l'aise, impuissante, et très vite, elle a la sensation d'être une victime, de ne pas disposer des moyens de sortir de son marasme. Elle peut aller d'échec en échec et entrer dans la dépression ou être atteinte de mal-être chronique ou de maladies.
Développer l'estime de soi est important car :
·Ce à quoi l'esprit donne de l'attention, l'esprit le considère.
·Ce que l'esprit ne considère pas, l'esprit le laisse de côté.
·Ce que l'esprit considère continuellement, l'esprit le croit et le prend au sérieux.
·Ce que l'esprit croit et prend au sérieux, l'esprit finit par l'accomplir.
Auteur inconnu
Source : L'estime de soi : un bien essentiel
L'autre, miroir de soi ?
On parle beaucoup des "effets miroir", dans un couple, au travail, dans la société…
Alors voilà, c’est simple comme « bonjour !!!!»
Mais encore faut il savoir les repérer et les accepter, « ces effets miroir ».
En chacun de nous, il y a ce qu’on nomme, une part d'ombre et de lumière. (Yung.)
Pour bien comprendre mon interlocuteur, encore faut il que je me comprenne moi-même.
Je ne suis pas psychologue, je dis simplement que communiquer, ce sont des transactions, d'états, d'émotions, de sentiments, de positions (hiérarchique, même au sein d'une famille.), de vécus, qu'il est bon de prendre en considération pour connaitre ses limites et celles de l'autre. (Ne fais pas à l'autre ce que tu n'aimerais pas qu'il te fasse.)
Accepter l'autre, c'est s'accepter soi.Très souvent, avec un peu de perspicacité et d'écoute, on trouve toujours dans nos colères, nos défenses, nos énervements, une source très personnelle.
Un blocage, une peur, une colère, une angoisse... que nous n'arrivons pas à nommer consciemment, donc nous l'a rejetons chez l'autre. (C’est plus simple et moins compliqué.)
Une bonne relation, Adulte, saine et sereine c'est justement, beaucoup d'humilité, d'abnégation, d'écoute.
Car l'autre est miroir de soi, oui puisque je pense, respire et ai les mêmes sentiments.
Miroir mon beau Miroir....
- Introjection, je m'attribue chez mon interlocuteur, des aspects positifs lui appartenant, qui ne sont pas les miens.
- Projection, je rejette de moi, le mauvais, ce qui à été refoulé, ce que je ne veux pas voir en moi, l'égoïsme, la jalousie, l'orgueil, l'hypocrisie... (sur l'autre.)
- Transfert, Paradigme de la psychanalyse, met en scène une personne...Inconsciemment tu mets l'image d’une personne que tu connais sur une autre. (père, mère, oncle, tante, frères, sœur.....)
On ne cesse d'impliquer l'autre dans un processus mental (inconscient) de notre personnalité.
"Persona."
Ce que tu aimes ou apprécie chez « l’autre » c’est généralement ce que tu penses ne pas avoir, ce qui te fascine, ce qui te séduit, ce qui te manque, parce que tu te crois incapable d’être ce qu’il ou elle est, alors il ou elle exerce sur toi une espèce de fascination. (C’est très enfantin.)
(Il ou elle est enthousiaste, généreux, sociable, parole facile, déterminé, tenace, opiniâtre, fort, etc.….) des points extrêmement positifs qui te séduisent et qui vont te faire succomber…
Tu vas admirer une star de cinéma, de la chanson, ton patron, ta femme, ton mari, un animateur télé, ta mère, ton père, Ton prof (quelque soit la discipline et j’en sais quelque chose) etc.…
Sans trop savoir pourquoi…Mais ce qui t’attire chez l’autre c’est une facette de ta personnalité que tu aimerais avoir…ou......que tu te refuses d’obtenir. (Inconsciemment) Tu te laisse séduire, mais une fois l’effet passé, attention au réveille. Tu peux être extrêmement déçu de cette illusion.
"Ombre". (Archaïque, primaire, pulsionnelle.)
C'est une partie de nous même qui a été réprimée très petit.
Ce que tu n’aimes pas chez l’autre, c’est ce que tu as en « toi » mais que tu détestes ou que tu n’oses accepter, que tu refoules bien profondément , par peur, orgueil, ou fierté jusqu’au jour où tictac...... Boum !!! Ça explose !!!!!…Tu ne sais plus qui tu es et où tu vas....
A force de te fuir et de refuser ta part d'ombre. (C’est peut être un peu simpliste mais c'est grossièrement ce qui ce passe.) Nous sommes des êtres complexes et ambigües, alors autant l'accepter et l'assumer plutôt que de refouler.
Les gens trop gentils, trop affables, trop touchants…Peuvent faire peur, Ils nous renvoient notre propre incapacité à aimer.
"Par peur", On se barricade.
On veut être Fort, là est le problème…Superman c’est au cinéma. Je te conseille d'accepter et de ne plus refouler ce qui te parait médiocre en toi et que tu reportes involontairement chez les autres.
C'est notre paradoxe (accepter nos fragilités, notre part d'ombre, pour être plus en harmonie avec soi et pour s'estimer tout simplement. Et se faire confiance.)
"Les personnes que nous côtoyons, ne sont pas là par hasard."
Elles sont le miroir de nos mille et une facettes de notre personnalité, après, c’est à nous de savoir les décrypter… Pour ne pas être dupe dans ce jeu de dupe être au plus prêt de sa vérité est l'essentiel.
Moralité : lorsqu’une personne proche de toi, t’envoie une injonction…Dis toi qu’elle a des choses à se reprocher, une dispute entre adultes est constructive, elle se fait par rapport a soi et non en critiquant l’autre…Sinon c’est de la malhonnêteté ou de la méchanceté gratuite qui ne doit pas t’atteindre. Mais poses toi toujours cette question, qu'est ce que j'ai à comprendre dans cette situation ? Qu'est ce que cette rencontre ou cette relation m'apprend sur moi ?
Le chemin est le but..........
Source : http://comcourbier.canalblog.com/archives/2006/12/19/3467487.html
L’amour de soi
"L'amour de soi, c'est s'aimer inconditionnellement, s'accepter tel qu'on est dans le moment. Il implique d'accepter toutes les parties en soi, surtout celles qui ne font pas notre affaire ou celles qui nous font parfois souffrir, en reconnaissant que c'est nous-même qui les avons créées, croyant qu'elles nous seraient utiles.
S'aimer, c'est reconnaître qu'on évolue en tant qu'humain, c'est-à-dire que tout est temporaire. C'est accepter que nos limites, nos peurs, nos faiblesses, nos culpabilités, nos croyances, nos désirs de vivre certaines expériences, nos goûts, nos talents évoluent sans cesse et qu'ils peuvent être différents de ceux des autres. Ça demande de les accepter, surtout sans se juger ni se critiquer lorsqu'on n'est pas d'accord avec le fait d'être ainsi.
S'aimer, c'est reconnaître l'être spécial qu'on est, même si on n'a pas encore atteint notre idéal. S'aimer, c'est savoir au fond de son cœur qu'on agit toujours au meilleur de notre connaissance, selon nos capacités et nos limites du moment. On est sur terre pour vivre des expériences dans le but de reconnaître qui on est. Il va sans dire qu'on atteindra notre but terrestre quand on sera capable d'accepter chacune des différentes façons qu'on a d'aimer et de s'exprimer. Pour accepter ainsi, on doit apprendre à constater ce qui se passe, à tout observer, y compris nos comportements, et se donner le droit d'être tel qu'on est. L'amour dit toujours oui sans résistance, sans condition.
Une personne qui ne s'aime pas se critique, se contrôle et ne croit pas en elle. Elle en oublie son essence, qui elle est véritablement, c'est-à-dire un être spirituel qui habite temporairement dans un corps de matière, un être merveilleux qui agit au meilleur de sa connaissance, de sa conscience et de ses limites. Elle s'identifie plutôt aux personnalités qu'elle a créées mentalement, qui ne sont en fait que des illusions.
Toutes les situations et les événements qu surviennent dans notre vie existent pour nous permettre de nous aimer toujours un peu plus chaque jour. Il y a plusieurs moyens d'apprendre à s'aimer, le premier étant de devenir conscient de qui on est véritablement : nos qualités de cœur, notre générosité, nos multiples talents, notre capacité d'aider, d'accepter, d'écouter, de comprendre, et surtout notre grand pouvoir de créer et de rechercher sans cesse l'amélioration de notre être. L'amour véritable est d'essence spirituelle. Il représente l'énergie de fusion entre tout ce qui vit. On le considère comme le remède le plus rapide et efficace pour toute guérison physique, émotionnelle et mentale... "
Lise Bourbeau et Micheline St-Jacques
Croire en soi pour réussir sa vie
Qui mieux que vous peut savoir ce que vous ressentez ?
Qui mieux que vous peut savoir ce que vous aimez ?
Pourtant, vous trouverez toujours des personnes qui viendront vous dire ce que vous devez faire de votre vie ou bien encore qui prétendent savoir mieux que vous ce qui est bon pour vous.
N’en voulez pas à ces personnes et sachez qu’il vous appartient de savoir vous affirmer et de croire en vous…
Mais « Comment faire pour croire en soi et s’affirmer ? »
En effet, si vous avez pris l’habitude de faire ce qu’on vous demande sans jamais vous opposer, même lorsque cela vous pèse, il peut-être difficile de renverser la vapeur.
Néanmoins, ce n’est pas impossible…
Croire en soi ou se libérer de l’approbation des autres…
La première chose à faire pour croire en soi, c’est de trouver ce qui vous pousse à chercher l’approbation des autres.
En effet, bien souvent, derrière l’envie de satisfaire tout le monde se cachent le besoin d’être aimé ainsi que la peur de décevoir, et d’être rejeté.
Pour réussir à se détacher de ces influences, vous devez prendre confiance en vous.
C’est-à-dire apprendre à accorder autant (voir plus) d’importance à vos ressentis qu’à ceux des autres.
Il vous faut trouvez la justification et le sens de vos actes au fond de vous.
Cela ne veut pas dire qu’il faut se fermer aux autres, mais qu’il faut savoir faire la distinction entre ce que vous ressentez et ce que ressent votre entourage.
Pourquoi ?
Simplement car bien souvent, notre entourage a tendance à projeter sur nous ses propres peurs et ainsi, à nous limiter.
Or pour avancer, il faut parfois faire des choix différents que ceux qui ont été fais avant nous.
C’est donc là votre première étape, savoir pourquoi vous cherchez à être approuvés par les autres et reconnaître la valeur de vos ressentis. Mais ce n’est pas tout…
En effet, à quoi bon savoir cela si vous n’en faites rien.
Voici donc la deuxième étape :
Croire en soi ou savoir s’affirmer
Au fur et à mesure que vous prendrez confiance en vous, vous allez pouvoir à votre rythme apprendre à vous affirmer.
Soyez conscients que cette étape demande du temps, aussi, il est important que vous fassiez preuve de patience et d’indulgence vis-à-vis de votre personne.
Croire en soi, ça s’apprend, mais il faut être réaliste, si vous avez appris pendant de longues années à taire ce que vous ressentez et à prendre sur vous, il faudra peut-être aussi quelques années pour arrivé à l’effet inverse.
Cependant, l’essentiel ce n’est pas le temps que vous mettrez pour atteindre cet objectif. Non, l’essentiel c’est d’arriver à vous réaliser, et ce, qu’importe le temps que vous prendrez.
Maintenant que vous connaissez les étapes à franchir, il ne vous reste plus qu’à partir au devant de vous-mêmes.
Croire en soi procure une force et une confiance inestimables.
Tiré du blog : http://magicsebwin.wordpress.com/2009/03/06/croire-en-soi-pour-reussir-sa-vie/
9 façons de prendre soin de vous
Plus nous avançons dans la vie et plus nous avons tendance à mettre l’accent sur les autres, le bien-être de nos proches et de notre famille.
Nous voulons les voir grandir et se développer de manière positive.
- Mais peut-on aider les autres sans commencer par s’aider soi-même ?
- Combien d’entre nous savent se concentrer avec la même intention sur eux-mêmes, afin de protéger leur propre santé émotionnelle, mentale et physique ?
(On ne parle pas ici de narcissisme, d’égotisme, mais d’apprendre à bien se traiter soi-même). - Comment pouvons-nous nous assurer que nous nous cultivons nous-mêmes de façon adéquate ?
Il y a de nombreuses façons d’améliorer notre santé mentale et physique, et pas seulement en mangeant de façon intelligente, mais aussi en faisant de petits, mais importants changements dans notre vie quotidienne.
Voici 9 conseils très simples à pratiquer sans restriction.
« Soyez doux avec vous-même. Vous êtes un enfant de l’univers, pas moins que les arbres et les étoiles.
Dans le désarroi bruyant de la vie, sachez maintenir la paix dans votre âme. »
Max Ehrmann
1. Levez-vous tôt
Se réveiller au dernier moment pour tout faire ensuite dans la précipitation est facteur de stress.
C’est l’une des pires façons de commencer votre journée.
Réveillez-vous suffisamment tôt pour avoir du temps à penser à la journée qui se présente, élaborer un plan, lire ou écrire, faire du yoga, de la méditation avant de partir au travail.
Ce moment d’intimité avec soi-même est crucial pour votre santé physique et psychique.
De plus, si vous avez la chance de faire ça au soleil ou dans un endroit avec une forte lumière, ce n’en est que mieux.
De nombreuses études montrent que l’exposition à la lumière du matin a une influence sur l’indice de masse corporelle (IMC) des patients (cela joue à hauteur de 20 %). La lumière permet d’ajuster l’horloge interne qui régule votre rythme circadien et donc votre balance énergétique.
Elle joue aussi dans la dépression saisonnière.
2. Buvez de l’eau
Buvez un grand verre d’eau au réveil pour démarrer votre organisme, car la nuit est en quelque sorte une « traversée du désert », durant laquelle on peut rapidement se déshydrater sans avoir l’occasion de boire, surtout en été.
Cette eau peut éviter une sécrétion trop élevée de l’hormone antidiurétique secrétée durant votre sommeil. L’hormone antidiurétique (ADH) ou vasopressine est une hormone favorisant la réabsorption de l’eau par l’organisme.
Elle permet de réguler les fonctions urinaires et la pression sanguine. Elle joue un rôle important dans la gestion de l’anxiété. On ne doit pas trop en sécréter.
Pensez à vos réserves d’eau pour la journée de façon à être en mesure de boire régulièrement, surtout si vous travaillez assit.
De nombreuses études ont montré que les Français ne buvaient pas assez d’eau, alors que les besoins hydriques d’un adulte sont de 2,5 litres par jour (attention toutefois, le corps ne peut pas absorber plus d’un litre par heure, inutile de forcer les doses).
Ça ne date pas d’hier, Hippocrate, 4 siècles avant J.C. disait déjà que "l’alimentation était notre première médecine"
3. Devenez plus conscients de ce que vous faites.
Le matin, éloignez votre téléphone de sorte à pouvoir vous concentrer sur ce que vous faites, ce que vous goûtez, regardez, dans l’instant.
Être conscient de l’instant présent vous aide à apprécier ce que vous faites et permet aussi de mieux vous rappeler ce que vous avez fait.
Si vous ne pouvez pas rappeler ce que vous avez mangé hier à la même heure, vous savez que vous étiez distrait et avez agi sans être pleinement conscient de votre action.
Vous pouvez même en profiter pour méditer.
Les approches de « pleine conscience » ont fait l’objet de nombreuses études scientifiques depuis plus de 30 ans et ont notamment montré leur efficacité sur la réduction du stress (diminution de la production de cortisol, l’hormone du stress), de l’anxiété et la régulation émotionnelle.
4. Ralentissez
Simplifiez vos tâches, prenez une profonde respiration et cochez ce que vous pouvez dans votre liste de « To do »
Liste To Do = À faire. Il s’agit de cocher (ou décocher) certaines choses qu’on avait prévu de faire pour soulager son emploi du temps
La vie est un flux continu et ce que vous n’avez pas pu faire vous le ferez à un autre moment.
Vous pouvez aussi expérimenter la sensation ne rien faire du tout pendant 10 ou 15 minutes quand vous vous réveillez. Car le corps aussi parle sans cesse et ce peut être un moment dans lequel vous allez pouvoir l’entendre parce que vous l’écoutez.
La mémoire inscrite dans votre corps est extrêmement parlante.
5. Apprenez à être positif
Essayez de trouver le positif dans ce que vous pouvez, que ce soit votre nourriture, votre maison, votre journée, vos enfants, le trajet pour aller travailler.
Il y a toujours quelque chose de bon dans ce que vous avez et ce que vous faites. Essayez de voir cela et de vous concentrer dessus.
Par exemple:
Si vous croisez quelqu’un en chaise roulante, vous pouvez bénir la vie d’avoir vos deux jambes et de pouvoir marcher… (Surtout si vous étiez en train de râler parce que la queue n’avançait pas assez vite).
Apprenez à regarder ce que vous avez réalisé comme une expérience qui vous fait grandir, quel que soit le résultat « en positif » ou « en négatif ». Il n’y a rien de mauvais, il n’y a que des expériences dont on tire des leçons de vie.
C’est une bonne façon d’apprendre à être plus reconnaissant envers la vie, mais également vous faire sentir mieux envers vous-même.
Si quelque chose de difficile vous arrive, essayez de le regarder différemment, de prendre du recul, de le voir sous un autre angle.
C’est souvent la perception que vous avez de la situation qui est bouleversante plutôt que la situation elle-même.
Parfois, certains évènements que l’on croit « contre nous » sont « avec nous » : vous avez raté ce train à cause d’un embouteillage et êtes dépité(e). Ce que vous ne savez pas, c’est qu’il va avoir une avarie et restera 4 heures bloqué sur la voie. Apprenons aussi à nous réjouir d’un contretemps…
Le professeur de psychologie Robert Emmons, de l’Université de Californie, a montré que les personnes qui ont décrit chaque semaine cinq choses qu’elles trouvaient positives ont eu moins de problèmes de santé et ont renforcé leur attitude positive (ce qui d’ailleurs peut influer sur ce qu’on appelle la chance).
6. Expérimenter vos sentiments
Il est normal de se sentir triste, déprimé, anxieux, solitaire ou même heureux. Asseyez-vous, observez vos phénomènes ou états affectifs, écrivez à leur sujet.
Partagez vos sentiments si vous pouvez le faire avec quelqu’un de confiance. Dans l’intérêt de la raison, il vaut mieux essayer de comprendre que de juger ce que vous ressentez.
7. Faites quelque chose pour vous-même
Que ce soit une promenade, l’écriture, partir en vacances…
Faites quelque chose que vous pouvez apprécier.
Vous n’êtes pas obligés de partir à l’étranger pour avoir des vacances, vous pouvez aller voir les points d’intérêt dans votre propre ville ou dans les environs, que vous n’avez jamais vus et qui sont riches et beaux. La beauté est une nourriture pour l’âme au même titre que le pain l’est pour le corps.
8. Connectez-vous avec votre Enfant intérieur
Qu’est-ce que vous aimeriez faire comme un enfant ? Faire du vélo ? Partir en pique-nique ? Faire du roller ?
Essayez de vous souvenir l’enfant que vous avez été, reprenez contact avec lui et allez de l’avant en faisant ce que votre cœur vous dit !
Il a été démontré que cela est très tonique pour le cerveau. Le psychologue américain John Bradshaw a bien explicité comment, découvrir à quel stade du développement nous avons abandonné notre « Enfant intérieur », et le reconnecter pouvait influer sur notre comportement.
9. Pratiquez la reconnaissance
Essayez de le faire régulièrement. Quand vous vous concentrez sur ce que vous avez obtenu et découvert (même les choses que nous tenons pour acquises tels que la vue, pouvoir marcher, ou de l’argent pour acheter des livres, etc.) vous vous sentez plus en mesure de relever les défis auxquels vous êtes confrontés.
Et surtout, vous vous rendez compte que vous avez ce que beaucoup dans le monde entier n’ont pas.
Le Pr. Paul Mills de l’université de Californie, à San Diego, a aussi montré comment le sentiment de reconnaissance et de gratitude influait sur le bien-être spirituel, le sommeil, l’humeur, la fatigue, mais aussi des marqueurs biologiques de l’inflammation.
De fait, « les personnes qui éprouvent de la gratitude repèrent davantage les événements positifs de la vie et les retiennent plus que les personnes moins reconnaissantes » indique Rébecca Shankland, maître de conférences à l’université de Grenoble-Chambéry.